Des superordinateurs indispensables à la recherche

La Presse – Lorsqu’un appareil de la C Series de Bombardier se pose sur une piste de Riga ou de Genève, le bruit qu’il émet – ou n’émet pas – repose sur des milliards de calculs effectués par des superordinateurs logés dans les entrailles de quatre universités québécoises.

Regroupés dans un réseau appelé Calcul Québec, ces quatre superordinateurs, appartenant aux universités Laval, de Sherbrooke, de Montréal et Polytechnique, sont sollicités 24 heures sur 24 par près de 2000 chercheurs de la province, dont les travaux ont mené autant à la modélisation des ondes gravitationnelles théorisées par Albert Einstein qu’à une meilleure compréhension des marchés financiers.